Les mesures alternatives permettent de calculer l’activité autour des publications scientifiques provenant de sources de données autres que les sources « traditionnelles ». Par exemple, les réseaux sociaux, les blogues, la presse, etc.
Ce sont des mesures complémentaires aux indicateurs bibliométriques traditionnels. Les statistiques des mesures alternatives sont beaucoup plus rapides à obtenir que celles des indicateurs « traditionnels ».
Attention : tout comme les indicateurs « traditionnels », les mesures alternatives ont leurs limites. Il ne faut pas confondre l'impact médiatique avec l'impact scientifique. Un article peut avoir été partagé un grand nombre de fois dans les médias, par exemple, parce qu'il sème la controverse, mais cela n'est pas garant de sa qualité.